vendredi 20 février 2015

Précisions sur la Loi fin de Vie

PROPOSITION DE LOI CLAEYS-LEONETTI SUR LA FIN DE VIE
 
                                              
Cette proposition de loi s’inscrit dans une situation sanitaire qui alarme beaucoup de nos compatriotes.
La mort à l’hôpital les angoisse par la conjonction de plusieurs phénomènes :
-          Par suite de l’absence fréquente d’infirmières de nuit dans les EPHAD, nombre de résidents, lorsque leur état s’aggrave pendant la nuit, sont transférés aux urgences de l’hôpital, services très encombrés spécialement dans les premières heures de la nuit, car toute la misère du monde y afflue : parents inquiets pour leur enfant, SDF blessés dans des bagarres, personnes seules angoissées…, et les véritables urgences. Difficile souvent de voir de prime abord ce qui est urgent et ce qui ne l’est pas. Il arrive donc, trop souvent malheureusement,  que ces résidents décèdent sans véritables soins et dans la solitude sur un brancard de ce service
 
-          Les unités de soins palliatifs et les réseaux de soins palliatifs à domicile sont en nombre très insuffisant pour répondre aux besoins et sont inégalement répartis sur tout le territoire.
 
-          Les traitements de la douleur sont souvent  peu ou mal  appliqués dans de nombreux services.
 
-          La loi sur les soins palliatifs et la loi LEONETTI ne sont pas suffisamment connues et appliquées.
La proposition de loi part donc d’un constat réel. Apporte-t-elle les  bonnes  réponses ?
Concernant le développement de nouvelles unités de soins palliatifs, le texte en reste à des vœux pieux sur la nécessité de le faire.
Sur la nécessité d’introduire une solide formation des étudiants, des médecins  et des soignants en général au traitement de la douleur, aux soins palliatifs et à l’accompagnement, là encore on reste sur des « il faudrait », « on devrait ». On ne sent pas une volonté très ferme d’y parvenir.
Dans nos interventions écrites et dans nos rendez-vous avec les élus, il est important de partir du réel. Nous ne pouvons pas nous opposer en bloc à cette proposition de loi. Les trois évolutions proposées ressortent d’un consensus qui s’est dégagé à travers tous les rapports remis depuis deux ans sur la fin de vie. Nous ne voudrions aucune de ces trois propositions, qui sont un durcissement de la loi LEONETTI. Mais elles suivent la volonté de plus en plus souvent exprimée de nos concitoyens d’être maîtres de leur vie et de leur mort, de reconnaître une autonomie  toujours plus grande à l’individu dans la prise de décision. Avec l’incohérence de vouloir l’aide des autres pour exécuter leur volonté !
Nos propositions sont donc des ajustements des articles proposés, dans le but d’éviter les positions extrêmes qu’entraînerait un rejet pur et simple de la loi et l'adoption d'une loi pire.
 
Notre proposition
En préambule de la loi, doit figurer :
- l’obligation de développer réellement les soins palliatifs afin de répondre aux besoins, donc d’y allouer des moyens conséquents
-l’obligation d’inclure dans la formation des étudiants en médecine un enseignement obligatoire sur le traitement de la douleur, la loi sur les soins palliatifs, la loi LEONETTI
- l’obligation pour les médecins et les soignants en exercice de se former
 
Article Premier
Modifier l’article L 1110-5 du code de la santé publique proposé. Après le 2ème alinéa : « Toute personne a droit à une fin de vie digne et apaisée », ajouter « et  a donc droit sur tout le territoire aux soins palliatifs décrits à l’article L 1110-10 ».
Remarque : Toute vie est digne, cela ne relève pas que des professionnels de santé. La famille, les proches ont leur place dans l’accompagnement des personnes en fin de vie. Le rapport SICARD  demandait des mesures favorisant l’accompagnement en fin de vie (possibilités de congé de solidarité familiale renforcées, associations de bénévoles soutenues, développement des formules de répit).  Rien de tout cela dans la loi.
En outre, les professionnels de santé ne pourront agir que s'ils disposent des moyens budgétaires  et humains pour cela. Il est notamment  indispensable d'intégrer les actes d'accompagnement dans la tarification médicale.
 
Article 2
L’article L1110-5 de la loi LEONETTI prévoyait que « lorsque les actes apparaissent inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris. »
Dans la nouvelle rédaction de cet article, le « peuvent » est supprimé  et  l’article indique « ils sont suspendus ou ne sont pas entrepris.
A la fin de l’article est ajouté : « la nutrition et l’hydratation artificielles constituent un traitement ».
Notre proposition
Rétablir le « peuvent » être suspendus…
Pour la nutrition et l’hydratation artificielles, introduire : « peuvent »  constituer un traitement (cas des malades en fin de vie).
 
Article 3
Cet article est ajouté et stipule qu’ « A la demande du patient d’éviter toute souffrance et de ne pas prolonger inutilement sa vie, un traitement à visée sédative et antalgique provoquant une altération profonde et continue de la vigilance jusqu’au décès associé à l’arrêt de l’ensemble des traitements de maintien en vie est mis en œuvre…
Cet article doit être réécrit. Son ambiguïté fait envisager une possibilité d’euthanasie. Quelle est l’intention du législateur : éviter toute souffrance  et/ou, dans certains cas, provoquer le décès ? Pourquoi associer obligatoirement arrêt de traitement et sédation profonde et continue jusqu’au décès ? Tout arrêt de traitement ne s’accompagne pas forcément de douleurs intolérables.
Cet article ne laisse plus d’espace pour le soignant. De plus, cet automatisme est très inquiétant. La décision de lier les deux devrait être laissée à l’appréciation du médecin dans un colloque singulier avec son patient. Nombre de médecins pourraient être mis dans une situation profondément contraire à leur éthique.
Notre proposition
Soit dissocier arrêt de traitement et sédation profonde, soit accorder la clause de conscience aux médecins.
Dans tous les cas, ajouter, après l’alinéa « Le traitement à visée sédative et antalgique prévu au présent article est mis en œuvre » conformément aux recommandations de bonnes pratiques édictées par les sociétés savantes. En effet ces recommandations sont essentielles au jugement médical. Dans le cadre de la loi, elles sont validées par la mise en commun des expériences et peuvent sans cesse être améliorées. La loi ne doit pas s’immiscer dans l’exercice de la médecine et empêcher la mise au point de ces « bonnes pratiques ».
A dénoncer
Dans l’exposé des motifs de la proposition de loi, il est dit : « le rapport de cette commission [commission SICARD] plaide pour [ …] l’administration d’une sédation à but terminal, encadrée. »
C’est une interprétation abusive de ce rapport qui dit :
«  Pour la commission, les critères qu’une loi voudrait imposer dans ce type de décision [sédation profonde accélérant la survenue de la mort] ne pourront jamais contenir toute la complexité et la diversité du réel. Mais il paraît évident à la commission que, dans l’esprit de la loi LEONETTI, ce serait une sorte d’acharnement de « laisser mourir » ou de « laisser vivre » une personne, après arrêt de toue traitement et des soins de support. »
« Aux yeux de la commission, cette grave décision relève d’édictions de recommandations de bonnes pratiques d’une médecine responsable, plutôt que d’une nouvelle disposition législative. »
 
Article 5
1er alinéa :"Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas subir tout traitement"....
2ème alinéa : "Le professionnel de santé a l'obligation de respecter la volonté de la personne après l'avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité."
Ce 2ème alinéa limite le rôle du médecin. Dans la loi de 2005, "le médecin doit tout mettre en oeuvre pour  convaincre la personne d'accepter les soins indispensables". Le médecin devient l'exécuteur des volontés du patient. Le terme médecin est remplacé par "le professionnel de santé". Ce n'est sûrement pas anodin. Un professionnel de santé autre que le médecin serait-il habilité à recueillir la volonté du malade ?
Notre proposition
Le médecin a l'obligation de respecter la volonté de la personne, après s'être efforcé d'éclairer son patient dans un dialogue singulier sur les conséquences de ses choix et de leur gravité.
Article 8
« Toute personne majeure et capable peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté… Elles sont révisables et révocables à tout moment… Elles s’imposent au médecin […], sauf en cas d’urgence vitale pendant le temps nécessaire à une évaluation complète de la situation » ou « si les directives anticipées apparaissent manifestement inappropriées »
Notre proposition
Rétablir une durée de validité limitée, car la volonté d’un individu fluctue suivant son âge, sa situation, la volonté du malade fluctue au cours des étapes de la maladie.
Encourager la rédaction de ces directives en lien avec le médecin traitant, le conjoint, la famille ou la personne de confiance. Ces directives ne peuvent être le remplissage d'un simple formulaire administratif (type CERFA).
                                                                                                L’équipe bioéthique de la Confédération
                                                                                                                             11 février 2015

Strasbourg - Formation bioéthique - Université de la vie 2015 - Inscrivez-vous

A STRASBOURG
Du 9 mars au 7 avril 2015
5 soirées de formation bioéthique interactives, en visioconférences. Avec des interventions d'experts, de philosophes et des témoins locaux. 
 
 


Lundi 9 mars : CAP Europe - 6 rue de Bitche - Tram C et E arrêt Contades
Les lundis 16, 23, 30 mars et le mardi 7 avril : FEC - 17 place St Etienne - Tram E,C,F arrêt Gallia - Parking des Bateliers, rue de Zurich

Invitez vos amis !
 
Contact : alliancevita67@gmail.com - 06 09 92 74 41

Fraternité en politique : s'investir autrement dans la cité (du 13 au 15 mars à Strasbourg)

Chers amis,
 
Nous sommes heureux de vous inviter à cette rencontre du mois de mars. 
 
Elle concerne les élus, les employés de la fonction publique, les étudiants et les citoyens, de toutes convictions ou appartenances politiques, engagés au service du bien commun, qui souhaitent mettre la fraternité à la base des organisations et des initiatives législatives ou administratives locales, nationales et internationales.
 
Vous pouvez faire connaître cette initiative aux personnes intéressées et vous en remercions.
 
Avec toute notre amitié,
 
Jean-Marie et Thérèse
 

 

Gleeden : les AFC demandent à la justice de se prononcer




 

Communiqué de presse
18 février 2015

Contact presse :
Aude Ducros
01 48 78 81 08
a.ducros@afc-france.org
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Les Associations Familiales Catholiques (AFC) sont un cadre d’engagement et d’entraide offert à tous ceux qui veulent agir dans la cité au service de la famille à la lumière de l’enseignement
de l’Eglise Catholique. Elles représentent 30 000 familles
et ont fêté leurs
Cent Ans en 2005.
Pour en savoir plus :
www.afc-france.org

 
 
 
 
 
 
 
Gleeden : les AFC demandent à la justice de se prononcer
 
La campagne publicitaire qui fait la promotion de « Gleeden », « le premier site de rencontres pour personnes mariées » qui encourage l’adultère, suscite des réactions croissantes.
 
Ainsi, après que de nombreuses voix se soient faites entendre dans la société civile, après que plusieurs municipalités (Sèvres, Versailles…) aient protesté contre la promotion de cette campagne publicitaire sur les transports en commun, des politiques de tous bords se font à présent l’écho des contestations et de l’indignation qu’elle suscite.
 
La fidélité, en effet, est inscrite dans le code civil comme constitutive du mariage.
 
De fait, les conséquences et la destructuration sociales  - dramatiques pour les familles - qu'engendrent l’infidélité n'échappent à personne.
 
Est-il légal de faire ainsi publiquement la promotion de l’infidélité dans le cadre du mariage ?
 
Les AFC souhaitent donc désormais que la justice se prononce sur la légalité de la campagne « Gleeden » et du site correspondant, dont l’objet même est de faciliter l’adultère et de faire, à travers lui, la promotion publique de la duplicité, du mensonge et de la violation de la loi.
 
C’est pourquoi elles font délivrer à la société Black Divine, qui édite le site gleeden.com, une assignation à comparaitre devant le Tribunal de Grande Instance de Paris.

mardi 10 février 2015

Week end de formation approfondie à la méthode de régulation naturelle des naissances Billings


Conférences : Envisager la mort pour vivre debout !


Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela! Non au soutien de l'UE à l'avortement ! - Signez la pétition



Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela!

- Signez la pétition pour dire

NON au soutien de l'UE à l'avortement !


 

Signez la pétition contre le soutien de l'UE à l'avortement

"Ne laissons pas Tarabella
relancer Estrela!"


 

Bruxelles, le 15 janvier 2015

Aujourd'hui la FAFCE a lancé la pétition "Ne laissons pas Tarabella relancer Estrela!" et invite les citoyens en Europe qui souhaitent défendre la dignité humaine et le principe de subsidiarité à signer cette pétition

Le rapport Tarabella s’inscrit dans la logique du Rapport Estrela et vise à promouvoir un «droit à l'avortement» à travers une résolution du Parlement européen.

Une fois de plus les citoyens de l'UE doivent faire entendre leur voix pour défendre le principe de subsidiarité et empêcher que le Parlement européen nouvellement élu adopte un rapport qui comprendrait un "droit à l'avortement".

Le 10 Décembre 2013, le Parlement européen a rejeté le rapport Estrela sur « la santé et les droits sexuels et génésiques » (SDSG). A sa place, les eurodéputés ont adopté une résolution qui réaffirme le principe de subsidiarité et déclare clairement que «la définition et la mise en œuvre des politiques relatives aux SDSG et à l'éducation sexuelle dans les écoles relèvent de la compétence des États membres».

Le message est clair: l'UE n’est pas compétente pour statuer sur des questions telles que l'avortement ou l'éducation sexuelle dans les écoles, il s’agit de décisions nationales qui en aucun cas peuvent être prises à Bruxelles. 

Des centaines de milliers de citoyens se sont opposés au Rapport Estrela en 2013! Une victoire importante en faveur de la dignité humaine, de la subsidiarité et de l'expression populaire! Beaucoup de terrain a été gagné grâce à cette victoire: à la suite d’une forte mobilisation des citoyens à travers le continent européen, le Parlement européen a rejeté une tentative majeure de promouvoir un «droit à l'avortement» au niveau européen.

Cependant, l’eurodéputé belge Marc Tarabella, du groupe socialiste, conteste actuellement le principe de subsidiarité en ce qui concerne "les SDSG" en faisant la promotion d’un des principaux points du rapport Estrela, à savoir un «droit à l'avortement». M. Tarabella est le rapporteur du rapport annuel du Parlement européen sur l'égalité entre les femmes et les hommes au sein de l’UE en 2013. Un rapport annuel qui a été rejeté en 2014, connu alors sous le nom «rapport Zuber».

M. Tarabella tente de convaincre le Parlement européen d'accepter la disposition suivante: « Le Parlement européen (...) insiste sur le fait que les femmes doivent avoir le contrôle de leurs droits sexuels et reproductifs, notamment grâce à un accès aisé à la contraception et à l'avortement; soutient par conséquent les mesures et actions visant à améliorer l'accès des femmes aux services de santé sexuelle et reproductive et à mieux les informer de leurs droits et des services disponibles; invite les États membres et la Commission à mettre en œuvre des mesures et des actions pour sensibiliser les hommes quant à leurs responsabilités sur les questions sexuelles et reproductives ».

L’action de M. Tarabella est incohérente compte tenu de la position récemment adoptée par le Parlement européen, affirmant qu'il n'y a pas de compétence de l'UE sur la question de l'avortement. Néanmoins, au cours des réunions de la Commission sur les droits de la femme et l’égalité des genres du Parlement européen, il a déclaré sa détermination à promouvoir un "droit à l'avortement". Il est donc nécessaire de réaffirmer ce que le Parlement européen a déclaré le 10 Décembre 2013.

Ne laissez pas Tarabella relancer les positions d’Estrela!

La FAFCE vous invite à signer cette pétition pour envoyer un signal fort et uni des citoyens au Parlement européen avant les votes qui auront lieu d'abord dans la Commission des droits de la femme et de l'égalité des genres, le 20 Janvier 2015, puis lors de la plénière du Parlement européen.

Contact: Maria Hildingsson, Secrétaire général
+32 4 70 20 39 18

info@fafce.org
Fondée en 1997 la Fédération des Associations familiales catholiques en Europe (FAFCE) a un statut participatif auprès du Conseil de l'Europe et est un membre de la Plateforme de l'Agence des Droits fondamentaux de l'Union européenne. La FAFCE représente des associations familiales de 15 pays européens.
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Journée de formation « Quelle bonne nouvelle sur le corps et la sexualité ? » - 15 février

Nous sommes heureux de vous inviter à la journée de formation « Quelle bonne nouvelle sur le corps et la sexualité ? ». Elle sera animée par Sœur Susannah-Miriam Kelly formée à l’Institut Jean-Paul II de Washington :
 
Dimanche 15 février de 9h30 à 16h30
Au Centre Culturel Saint-Thomas à Strasbourg
 
Programme :
 
9h45 : Première intervention : L’homme et la femme créés à l’image de Dieu
1)      Les éléments constitutifs de la personne humaine
2)      Un être créé par Dieu à l’image et à la ressemblance de l’amour trinitaire
3)      La sexualité créée par Dieu
 
11h15 : Deuxième intervention : L’Église, le mariage et le sexe
1)      Quelle place pour la sexualité ?
2)      Le Mariage, sacrement primordial
3)      Le Mariage, image tangible de la Trinité et de l’amour entre le Christ et son Eglise
4)      La sexualité dans le mariage
 
14h : Atelier de travail en petits groupes
 
15h : Troisième intervention 
1)      Échanges à partir du travail en atelier et réponses pastorales
2)      La chasteté : chemin de liberté pour aimer en vérité
 
 
Cette formation est ouverte à tous ceux qui souhaitent approfondir ces questions. Elle est particulièrement destinée aux laïcs, aux diacres et aux prêtres déjà engagés dans l’accompagnement des couples et des familles.
 
 
Inscriptions possibles jusqu’au mercredi 11 février.
Participation financière : 25 € pour la journée de formation, repas compris.
Accueil des enfants possible pour les parents qui n’ont pas de solution de garde.
 
 
Prochaine journée de formation le Dimanche 15 mars « Quels repères éthiques pour les couples ? »
Avec Agnès et Laurent Schléret (animateurs de groupes de préparation au mariage) et le Père Fabien Faul (directeur du Département de Théologie de l’Université de Lorraine).
 
 
Renseignements et inscriptions :
Service Diocésain de la Pastorale des Familles, 27 rue des Juifs, 67081 Strasbourg cedex
 
 

Communiqué AFC - 12 questions à se poser avant de crier sur ses enfants


 

Communiqué de presse
2 février 2015

Contact presse :
Aude Ducros
01 48 78 81 08
a.ducros@afc-france.org
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Les Associations Familiales Catholiques (AFC) sont un cadre d’engagement et d’entraide offert à tous ceux qui veulent agir dans la cité au service de la famille à la lumière de l’enseignement
de l’Eglise Catholique. Elles représentent 30 000 familles
et ont fêté leurs
Cent Ans en 2005.
Pour en savoir plus :
www.afc-france.org

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

28 place Saint-Georges
75009 Paris
email :
cnafc@afc-france.org
tél : 01 48 78 81 61
fax : 01 48 78 07 35
www.afc-france.org

Mouvement national reconnu d'utilité publique. Agréée comme association de consommateurs et au titre de la représentation des usagers dans les établissements de santé.
 

12 questions à se poser avant de crier sur ses enfants
Une nouvelle brochure des AFC
 
Dans le cadre de sa mission de formation, les AFC et les Editions de l’Emmanuel publient 12 questions à se poser avant de crier sur ses enfants, cinquième brochure de la série éducative En questions !. Comme les précédentes, sa rédaction a été portée par le secteur éducation des AFC.
 
Destinée à tous les parents – chrétiens ou non – aux éducateurs, mais aussi accessible aux enfants et adolescents, cette brochure adopte la formule qui a fait le succès des quatre volumes précédents de la série En questions !.
 
Elle traite du difficile exercice de l’autorité dans la vie des familles d’aujourd’hui quand beaucoup de parents se sentent perdus et doutent d’eux-mêmes. Loin de proposer un prêt-à-penser, cette brochure les accompagnera au contraire dans leurs réflexions afin qu’ils trouvent eux-mêmes les réponses appropriées.
 
Pierre Benoît, philosophe; Marie-Charlotte Clerf, psycho-praticienne Vittoz, coach et formatrice parentale ; et Florence Morel, psychologue, ont contribué à la rédaction de cette brochure.
Des illustrations d’Ixène permettent d’aborder ces questions avec beaucoup d’humour.
 
Informations pratiques
Cette brochure est disponible dès à présent sur le site librairie-emmanuel.fr.
12 questions à se poser avant de crier sur ses enfants, Editions de l’Emmanuel, 43 pages, 5€.

Collection En questions !
Les AFC proposent une collection de brochures En questions ! qui se définissent par une orientation résolument pédagogique et éducative, avec une forme ludique (illustrations, police de caractère, maquette…) pour susciter la réflexion. Elles sont destinées à un large public, avec une cible privilégiée : les pères et mères, les éducateurs et le monde éducatif, ses acteurs aussi bien de terrain que politiques et les

Université de la Vie 2015 à STRASBOURG - Inscrivez-vous !



 
 
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Strasbourg, le 5 février 2015,  
 
 
 
Chers amis, 
 
L'Université de la Vie revient avec un nouveau programme,  dans toute la France et à
STRASBOURG *
   
 
 
Le corps, de la vie à la mort.
Les mutation culturelles et techniques font surgir un défi éthique :
comment considérer le corps à tous les stades de la vie ?
 
 
Téléchargez les images - 1
 
 

Organisé par Alliance VITA, ce cycle de formation bioéthique se déroulera 
les lundis 9 mars, 16 mars, 23 mars, 30 mars, et le mardi 7 avril
de 20h15 à 22h30.
Découvrez en avant première une présentation du thème avec Tugdual Derville, délégué général d'Alliance VITA en cliquant sur le visuel ou le lien ici
 

Réservez dès à présent vos places sur le site
www.universitedelavie.fr.

 
 
 
 
 N'hésitez pas à partagez largement autour de vous ce mail pour inviter vos amis et proches à y participer.
 
 
 
 
 
 
* Lundi 9 mars : CAP Europe - 6 rue de Bitche à Strasbourg - Tram C et E arrêt Contade
    Lundis 16, 23, 30 mars et mardi 7 avril : FEC - 17 place St Etienne à Strasbourg - Tram E, C, F arrêt Gallia - Parking des Bateliers rue de Zurich

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Alliance VITA Bas-Rhin 
06 09 92 74 41
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